10 octobre 2006

Une allégorie de la décadence


Ca change de Botticelli, mais c'est pas mal non plus. Spécialement pour Gai Luron, évidemment, qui me demande des explications sur le concept de décadence. Et bien, voila, ça se passe de commentaires!

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Si c'est ça la décadence, décadons ! décadons ! ( sans doute un relent astérixien )

Anonyme a dit…

hé hé hé

doublement décadent : dans l'image et dans sa présence sur ce blog.

très fort ;)

Sémiramis a dit…

J'étais sûre que ça te plairait JB, c'est tout à fait ton style. Je suis complètement impatiente de découvrir ce que tu nous réserves pour ta crémaillère. Je sens que ça va être grandiose. Y at-il un dress code? Là en l'occurrence, c'était violet et noir (couleurs épiscopales). Je te laisse me donner des instructions... Joie joie joie!!!

Anonyme a dit…

Je suis très choqué par cette décadence, moi qui suis prude. Reprenez-vous mon amie, voyons voyons !

Sémiramis a dit…

Ta pruderie tourne à la pudibonderie Gai Luron. Réjouis toi donc plutôt de ce petit moment de légèreté! (ça devrait plutôt être moi la catho coincée, non?)

Anonyme a dit…

Pudibonderie, comme tu y vas ! Enfin soit, alors j'admire et ne suis plus choqué.

Anonyme a dit…

Grâce à cette charmante photo, je pourrai te reconnaître sur le quai. Ton blog est plein de surprises, au fond. En d'autres temps, j'avais fait des photos étranges, parues sur le blog de mon frère (celui qui cuisine bien...!)

Anonyme a dit…

Bien sûr que je connais. J'avais même laissé un message. Photo inoubliable. Alors comment l'avais-je oubliée ? Mon Dieu, Alzheimer déjà !?

Méchant plantage d'ordinateur = cause de message tardif.

Sémiramis a dit…

Je suis froissée de ne pas avoir ainsi marqué ta mémoire. Mettons ça sur le compte du vieillissement de tes neurones, usés par l'agrèg...

Anonyme a dit…

Pardon ! pardon ! Je me repens. C'est fou ce que je me repens. Un vrai festival de la strangulation comme dirait mon ami Achille.

Puisses-tu, glorieuse allégorie, me pardonner dans ta majestueuse décadence.

Sémiramis a dit…

Bien, petit avorton, je piétine tes misérables excuses, et dans ma grande miséricorde, je t'inonde de la gloire subliminale de ma splendide décadence...

Va, et ne pèche plus: je ne te hais point!