Petit clin d'oeil à l'un de mes maîtres spirituels, st Boby, pour fêter avec vous Ste Thérèse d'Avila. Une sacré bonne femme à laquelle je me suis confiée lors de mon baptême, et qui me patronne avec diligence depuis longtemps.
C'est donc aujourd'hui ma fête! Joie, joie, joie!
Pour fêter l'évènement, jeu concours: cadeau surprise offert à celui (Ulrich disqualifié bien sûr) ou celle qui me donnera le titre de la chanson de laquelle est extraite l'allusion lapointienne, ainsi que la citation exacte de la phrase... eh eh eh!! Je doute que vous soyiez de taille à relever cet épineux défi. J'attends avec impatience le fruit de vos recherches.
Message plus que laconique pour cause de connection internet ruralement désespérante (l'ADSL n'est pas encore d'actualité). Je vous embrasse et vais finir mon dimanche avec Botticelli, Julius de Baraglioul et Arnica Fleurissoire.
Gidement vôtre,
Elise Thérèse Agathe Belle Lurette, une vocation et mille avatars pour la gloire de Dieu
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14 commentaires:
Et voilà!
Mon premier commentaire, enfin!
Comme tu le sais,
je connais mon Boby Lapointe sur le bout des doigts, et l'ami Brassens fait aussi partie de mon bréviaire...
C'est donc sans hésitation que je te réponds: "L'idole et l'enfant"!
Je n'suis pas le premier dans ce genr' d'idole
Y a un nommé Don Juan qu'en a fait de drôles
Paraît même qu'il avait des fans au Carmel
Et qu'il s'en délectait comme des flans natures
Merci pour ton blog, Agathe,
il me remet un peu dans l'ambiance de la MEC, que je regrette depuis mon départ à l'autre bout de la France.
Bonne formule, le blog, pour mettre à l'epreuve ses idées, les échanger et se maintenir sur la brêche.
"Je t'ai connu, tu m'as connu
Gloire à Dieu au plus haut des nues"
Tu peux me compter parmi tes fidèles lecteurs...
Ouarf, facile ;)
c'est un titre du type : le *1 et le *2
ou :
1 : le veau d'or en est une.
2 : l'adolescent n'est plus sensé l'être, mais pourtant, même adulte, nous continuons à nous comporter comme si.
joyeuse fête ;)
Chère Elise,
Le titre de la chanson est 'l'idole et l'enfant' et le couplet ou l'on retrouve cette phrase est le suivant :
Je n'suis pas le premier dans ce genr' d'idole
Y a un nommé Don Juan qu'en a fait de drôles
Parait même qu'il avait des fans au Carmel
Et qu'il s'en dégoutait comme des flans natures
Bien votre
Bobby es Lapointe
Excellente fête, chère Belle Lurette. (Je suis incapable de répondre à la question du jeu concours... coin de désespoir !)
Chers amis, ravie du succès de ce jeu, je décerne le premier prix à notre ami Ter, et afin de récompenser l'oecuménisme de notre ami JS, qui s'hésite pas à se fourvoyer parmi d'hérétiques philosophes et de catholiques fervents sur ce blog. le prix est donc décerné ex aequo. Bravo bravo!!! Envoyez moi vos adresses mail pour recevoir votre prix avec diligence.
JB donne moi des précisions, je n'ai pas compris ta réponse (comme d'hab)!!
GL, shame on you!! Mais tu as déjà eu ton prix, toi.
Good night les petits**
Le veau d'or est une idole, et l'adolescent n'est plus un enfant, d'où : l'idole et l'enfant ;)
Bravo JB, j'avais effectivement compris la subtilité: j'y repensais en me brossant les dents ce matin! Tu es le plus fort, décidément, tu m'as prise à mon propre piège... Félicitations. Tu as par conséquent toi aussi gagné le prix (étant promis, non au premier qui trouverait, mais à celui qui trouverait, je le décerne donc trois fois!! Ma générosité ne connaît pas de limites!).
Bonne journée à tous**
Je note une divergence entre Tertius et jjmonde, portant sur le quatrième vers :
l'un écrit :
"et qu'il s'en délectait comme des flans natures" tandis que l'autre rédige :
"et qu'il s'en dégoûtait comme des flans natures".
Agathe Belle Lurette, dis nous vite qui a la bonne formule !
Petit jeu entre amis : félicitations !
Et bienvenu à Ter que nous sommes si heureux de retrouver de manière internétique.
Paix et joie !!
hum hum tu as raison Gai Luron, c'est effectivement JS qui est le plus précis, puisque l'idole se dégoûte de ses fans au Carmel... Mais l'érudition lapointienne n'est pas moins admirable chez Tertius, soulignons le. Tu devrais te plonger dans cette oeuvre si profonde...
Ah, d'accord, je verrai ce que je peux faire ; merci pour la résolution de cette indécision entre le dégoût et la délectation.
Eh eh souvent, les délices ne sont pas loin du dégoût, l'homme étant pétri de passions...
Petite pensée tarterienne.
J'étais en pleine sieste de quatre heures, cinq pour être exacte, dans les bras de Morphée quand la réalité me rattrappe : la sonnette de la Mission sonne, mon rendez-vous ACTEES viens d'arriver, dur dur ! Je me lève résigné : "toute les bonnes choses ont une fin ! ". Petite pointe de nostalgie jusqu'au moment où l'Esprit souffle : arrivera un jour mes braves où toutes les bonnes choses n'auront plus de fin ! Christos anesti !! Quelle joie n'est-ce pas ?
Allez sur cette belle parole n'hésitez pas : profitez de la Vie !
Ciao.
Ah, que ce serait ennuyeux
si la mémoire
n'était qu'une bande enregistreuse
et comme seraient plates
nos traditions orales!
Effectivement, les faons du Carmel,
je ne pense pas qu'ils soient
au goût du sieur Lapointe,
dont la verve priapique (sic)
convenait peu à la vie contemplative...
Peut-être y aurait-il
un site officiel ou une secte
d'adorateurs de Saint-Boby
pour trancher cette redoutable
querelle philologique.
Sinon, la flan nature
c'est pas mal avec des raisins secs.
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