Je reconnais avec certitude la main virtuose de Tharaud qui joue, encore et encore, les Valses de Chopin tant aimées...
25 avril 2007
Petit miracle
Je reconnais avec certitude la main virtuose de Tharaud qui joue, encore et encore, les Valses de Chopin tant aimées...
Publié par Sémiramis à 20:03 24 commentaires
Libellés : Musique
23 avril 2007
Holy and Funny... Ste Rita, une amie qui vous veut du bien
Heureusement, la femme timide, la femme effacée, la femme pudique et oserais-je dire prude (Càd, celle qui évite le monokini string), trouvera dans ce monde impitoyable un soutien et une amie.
Ah ste Rita, patronne des causes désespérées, dites nous quelle est la cause la plus désespérée! Avoir un budget manucure supérieur au PNB du Mali, ou porter encore son top Promod d'il y a 5 ans? Avoir un caniche assorti à son sac à main, ou s'imaginer qu'on peut nous trouver belle avec 5 kilos en trop? Ranger son Ipod dans un étui siglé Chanel, ou se ronger les ongles?
Ste Rita, c'est une petite maline. Elle n'a pas vraiment brillé dans sa vie, ni des ongles, ni du brushing, ni des lunettes. Mais en fin de compte, elle a le droit aux marbres, aux ors, et aux chérubins qui vollettent tendrement autour de sa petite figure même pas maquillée.
Ah Ste Rita,
vous qui souffrîtes avec patience de la brutalité masculine,
aidez nous à assumer notre féminité!
Publié par Sémiramis à 17:17 25 commentaires
Libellés : Holy and Funny days, Ste Rita et moi
Holy and Funny... MAMAC, les collections permanentes: suite
Publié par Sémiramis à 14:46 0 commentaires
Libellés : Holy and Funny days
22 avril 2007
Mon village dans l'isoloir
Buffet 19 voix soit 1,7%
Schivardi 2 voix soit 0,0% (Mention spéciale!)
Bayrou 192 voix soit 17,2%
Bové 11 voix soit 1,0%
Voynet 25 voix soit 2,2%
Villiers 36 voix soit 3,2%
Royal 235 voix soit 21%
Le Pen 138 voix soit 12,4%
Laguillier 23 voix soit 2,1%
Sarkozy 390 voix soit 34,9%
Publié par Sémiramis à 21:59 0 commentaires
Libellés : Politique
Holy and Funny... Matin du 8ème jour
le premier jour de la semaine,
elles vont à la tombe,
le soleil s'étant levé"
"Ressuscité le matin, le premier jour de la semaine, il apparut [...]"Marc 16, 9
Publié par Sémiramis à 01:38 4 commentaires
Libellés : Holy and Funny days
21 avril 2007
Holy and Funny... MAMAC, les collections permanentes
Visiter un musée n'est donc pas une expérience si simple que cela. Il faut accepter de se heurter à une sphère spatio-temporelle déroutante, un univers silencieux, ou l'on refuse de vous parler des oeuvres qui résonnent étrangement, ou bien qui ne résonnent pas du tout. Il faut refouler les complexes que vous donnent forcément un lieu où tout se montre mais rien ne s'explique. Il faut s'extraire du quotidien...
Le MAMAC offre un vaste panorama de cette gigantesque expérimentation sur les limites de l'art, l'explosion des cadres, des techniques, des couleurs, des matériaux, du concept même de musée, qu'ont recherchée la plupart des grand artistes du XXème siècle. Qu'est-ce que l'art finalement, sinon ce que l'on désigne comme tel selon d'arbitraires critères? Et si, à la fin, il n'y avait plus aucun critères?
"Parfois je suis pessimiste et je pense :
- la culture c’est pour impressionner les pauvres
- la culture n’est qu’une histoire de tour operator pour vous faire acheter des cartes postales
- la culture sert à avoir l’air intelligent quand on passe à la télé
- la culture sert de prétexte à envahir les autres peuples (pour leur apporter la culture)
- la culture vous élève au rang d’oies que l’on gave de culture
- la culture c’est l’ethnocentrisme des peuples qui croient avoir le monopole du beau et du vrai
- la culture sert de miroir au pouvoir narcissique dominant
- la culture c’est le cadeau bonux de la société de consommation
- la culture permet d’avoir bonne conscience et justifie l’impérialisme
- la culture est un exercice d’égoïstes jaloux les uns des autres
- la culture doit vous faire croire que l’artiste est un être supérieur
- la culture c’est la boursouflure qui accompagne le bruit des bottes
- la culture culpabilise (dans un musée vous faites silence, pas dans un bar)
Parfois je suis optimiste et je pense :
- l’art nous apporte ce qui nous manquait
- l’art est un cri de vérité
- l’art c’est la découverte de l’autre
- l’art est une rencontre inoubliable l’art nous prend à la gorge
l’art nous fait rire aux larmes
l’art rend à chacun ses racines
Mais si, comme Duchamp l’a dit, « c’est le regardeur qui fait le tableau » la balle est dans votre camp
A vous de jouer"
Faire exploser les cadres: Support/Surfaces
L'objet usuel, industriel, le rebut, le déchet, la vieillerie, tous s'imposent dans l'art. Bientôt ce seront les matières périssables qui s'exposeront, bouleversant les canons de la durée de l'oeuvre (avec l'arte povera notamment, l'oeuvre de Beuys).
Les cadres explosent, les objets envahissent les surfaces et se les approprient, comme ils envahissent progressivement une société que Baudrillard théorise alors comme "société de consommation"...
Dans la lignée du Pop art ont lieu les premières performances. Ce n'est plus tant l'oeuvre qui compte sinon l'acte créateur, le moment de la création, et le corps créatif de l'artiste qui envahit l'espace de l'oeuvre, pour aboutir aux tendances ultra corporelles de l'art contemporain.
J'aime particulièrement ces cuivres dont l'assemblage évoque à lui seul la fanfare...
Au sein du groupe des Nouveaux Réalistes, Yves Klein occupe une place particulère. Le MAMAC fait la part belle à l'enfant prodige de la ville de Nice avec une salle et une chronologie très détaillée, qui permet d'entrer réellement dans la démarche de cet artiste surdoué, stupéfiant d'intelligence et de bizarrerie.
Champion de judo, Yves Klein est issu d'une famille d'artistes. Sa démarche est influencée par la mystique rosi-crucienne à laquelle il adhère dans sa jeunesse, avant de rompre ensuite, et par la lecture de Bachelard, philosophe des éléments. Il peint ses premiers monochromes à la fin des années cinquante, après avoir mis au point son fameux IKB "International Klein Blue". Les oeuvres décorent les murs de la salle d'entraînement de son école de judo parisienne. On lui déclare alors que ces tableaux sont inprésentables: "rajoutez y un point, au moins"...
La quête de l'harmoie céleste est sûrement ce qui peut le mieux définir l'oeuvre de Klein. Aux monochromes répond la "Symphonie Monoton", accord en ré suivi de 20 minutes de silence. Je repense à cette fameuse discussion des Faux Monnayeurs sur "l'accord parfait"...
Publié par Sémiramis à 18:45 0 commentaires
Libellés : Holy and Funny days, Musées
16 avril 2007
Holy and Funny... Calder à Nice
Sa pause est au creux le plus sombre. Nul n'est plus à l'étroit que lui.
Il n'est pas d'yeux npour le tenir. Il crie, c'est toute sa présence. Un mince fusil va l'abattre. Tel est le coeur.
René Char, la Fontaine narrative, 1947 in Fureur et Mystère
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Libellés : Holy and Funny days, Musées, Poésie
Holy and Funny days: une visite au MAMAC
"Même quand il ne se passe rien, il se passe toujours quelque chose"
John Cage
Mais le parvis annonce la couleur avec de belles sculptures, dont un mobile de Calder que j'apprécie particulièrement... Un monstre du Loch Ness, par Nikki de Saint Phalle, tout chatoyant. Quant on pénètre dans l'enceinte, on découvre une structure circulaire, aux larges baies vitrées qui sont comme de flamboyants manifestes:
L'accumulation, par Arman bien sûr, des fameuses chaises bleues que l'on trouve sur la promenade des anglais!
Les grands déploiements de couleur de Sol Le Witt, très lumineux et efficaces:
Le même "Wall Drawing" vu depuis la terrasse, avec le jardin qui le surplombe (désolée, le temps n'était pas très ensoleillé contre toute attente!):
Et le dernier, je ne connaissais pas l'artiste, et j'ai par conséquent oublié son nom!
L'autre grande réussite de ce lieu est de ne pas séparer l'art contemporain de l'art moderne. Les expositions d'artistes en activité sont au premier étage du bâtiment: le deuxième et le trisième abritant les collections permanentes. Celles-ci font la part belle aux artiste niçois bien sûr: Fluxus, l'Ecole de Nice, les acteurs niçois du Nouveau réalisme avec un coup de projecteur sur le fascinant Yves Klein.
Publié par Sémiramis à 18:38 0 commentaires
Libellés : Holy and Funny days, Musées
Le corps transfiguré
Tout simplement, parce que les Actes des Apôtres et les faits qui y sont relatés découlent aussitôt des récits de la Résurrection. L'Evangile d'Emmaüs [1] lu le mercredi de l'octave pascale manifeste pleinement cette filiation entre résurrection et apostolat: "A cette heure même, ils partirent et s'en retournèrent à Jérusalem. Ils trouvèrent réunis les Onze et leurs compagnons, qui dirent: "C'est bien vrai! le Seigneur est ressuscité et il est apparu à Simon!" " Le fondement de la vie apostolique est la proclamation du Christ ressuscité. Il est intéressant de constater, pour l'anecdote, que ce sont les femmes qui sont les premières porteuses de la nouvelle: "Quelques femmes qui sont des nôtres nous ont, il est vrai, stupéfiés. S'étant rendues de grand matin au tombeau et n'ayant pas trouvé son corps, elles sont revenues nous dire qu'elles ont même eu la vision d'anges qui le disent vivant" [2]. Les Apôtres peinent à croire: ils permettent à chacun de s'identifier et de recevoir l'appel à la conversion de tous, baptisés compris, qui résonne dans le texte d'Emmaüs.
Ce passage se présente comme un chemin catéchuménal: la rencontre inattendue sur un chemin, l'entrée dans l'intelligence des Ecritures, le désir de rester avec le Christ ("Reste avec nous"), et la reconnaissance finale dans le geste eucharistique institué comme mémorial: "comme il était à table avec eux, qu'il prit le pain, dit la bénédiction, puis le rompit et le leur donna. Leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent..."[3].
J'ai toujours été fascinée par la subite disparition de Jésus aux yeux de ses disciples à partir du moment où leurs yeux s'ouvrent, et où ils le reconnaissent. Jusqu'à ce moment, effectivement, les anciens compagnons de Jésus se situent encore dans la perspective charnelle de l'Incarnation: ils sont incapables de reconnaître le corps de gloire de Jésus: "Jésus en personne s'approcha, et il faisait route avec eux; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître" [4]. L'évangéliste souligne qu'ils ne sont pas encore entrés dans le vrai sens des évènements de la Pâque: "[...] Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en oeuvres et en paroles devant Dieu et devant tout le peuple, comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être condamné à mort et l'ont crucifié. Nous espérions, nous, que c'était lui qui allait délivrer Israël; mais avec tout cela, voilà le troisième jour depuis que ces choses sont arrivées!" [5]. Il est manifeste que les disciples, "gens sans instruction ni culture" [6], relisent les évènements selon une logique terrestre de la force, et pas encore selon la logique surnaturelle de la grâce... C'est au moment où ils reconnaissent Jésus, lors de la fraction du pain, que leurs yeux s'ouvrent enfin. La subite disparition du Christ aux yeux de ses proches manifeste clairement le passage, dans la vie des disciples et dans la nôtre, de la logique de l'Incarnation où le Christ est présent, à celle de la résurrection. Quarante jours après Pâques, nous célébrons l'Ascension qui consacre cette "disparition" du ressuscité: l'absence du Christ devient présence de l'Eglise, vivifiée par le don de la Pentecôte qui clôt le temps pascal. Ce n'est plus effectivement le corps humain de Jésus qui nous est présent, mais son corps ressuscité, en la personne de chaque baptisé membre du corps mystique de l'Eglise, dont le Christ est la tête et le chef. De ce brusque glissement de perspective découle directement la naissance de l'Eglise: les disciples d'Emmaüs, qui quittaient Jérusalem tout dépités, courrent rejoindre les Onze pour leur annoncer à leur tour la Nouvelle. La dispersion, l'aveuglement, l'incompréhension et la déception se dissipent peu à peu. Précisément, Jésus doit disparaître pour qu'ait lieu la proclamation: tout comme le rappellent les anges aux disciples lors de l'Ascension "Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel?" [7]: ils sont appellés à témoigner [8].
En ce sens, les récits évangéliques des rencontres entre le Ressuscité et ses disciples sont autant de récits de baptêmes. En rencontrant le ressuscité, en entrant dans le mystère de l'intelligence de la résurrection, chacun est appellé à vivre lui-même en résurrection; comme le souligne la deuxième préface de Pâque "nous te rendons gloire Seigneur, car la mort du Christ nous affranchit de la mort, et dans le mystère de sa résurrection chacun de nous est déjà ressuscité" [9]. C'est déjà là ce que nous proclamions lors de la vigile pascale en lisant la lettre aux Romains [10].
Il me semble que, floués par une habituelle intellectualisation de notre foi, nous n'insistons pas assez sur l'aspect corporel très fort de cette nouvelle. Les textes, pourtant, soulignent clairement cet aspect: si la résurrection change tout, la transfiguration définitive du corps humain de Jésus transfigure aussi notre corps! Si nous sommes ressuscités avec lui, notre corps reçoit déjà en puissance sa gloire, qui ne se révèlera qu'aux derniers jours. Lorsqu'ils entrent dans la compréhension de la résurrection, les disciples sont physiquement bouleversés: "Leurs yeux s'ouvrirent ", et leur coeur est "tout brûlant". Sur le plan sensible, et pas seulement sur le plan intellectuel, ils entrent tout entier dans la perspective surnaturelle de la résurrection. Ce sont jusqu'à leurs sens qui sont modifiés par ce baptême, tout comme les nôtres ont reçu cette puissance surnaturelle lors de notre baptême...
Par ce rapport transfiguré à leur corps, les disciples sont désormais capables de guérir les infirmes! D'où le récit de la guérison du mendiant de la belle porte lu le même jour que le récit d'Emmaüs [11]. Le jeu des regards dans ce passage est essentiel: c'est bien en posant un regard neuf sur le malade que la guérison se produit: "Alors Pierre fixa les yeux sur lui, ainsi que Jean, et dit: "Regarde-nous." Il tenait son regard attaché sur eux, s'attendant à en recevoir quelque chose. Mais Pierre dit: "De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne: au nom de Jésus Christ le Nazôréen, marche!" Et le saisissant par la main droite, il le releva". A partir de ce moment, le corps de l'infirme guérit, retrouve sa vocation première: celle de l'action de grâce et de la glorification du Seigneur: "d'un bond il fut debout, et le voilà qui marchait. Il entra avec eux dans le Temple, marchant, gambadant et louant Dieu". Tout comme le corps des disciples, par leur action apostolique, l'annonce et les guérisons, se fait instrument de glorification du Très Haut...
La rencontre avec le ressuscité, c'est notre baptême, renouvellé à Pâques chaque année: une transfiguration entière de notre être. Il est bon de nous rappeller que cette transfiguration n'est pas symbolique, spirituelle ou uniquement intellectuelle: elle est effective, réelle [12], et ce dans le plus intime de notre corps. Corps qui devient membre du corps ressucité du Christ. Impossible de vivre ce miracle sans l'alimenter par le sacrement de l'Eucharistie, source et sommet de notre vie de baptisé. Impossible de ne pas être illuminé par la joie d'être renouvellé, transfiguré...
Ill: Photographies personnelles, avril 2007.
__________________________
1- Fronton de l'église abbatiale de Lérins, Christ en mandorle entouré des évangélistes symbolisés.
2- Petits anges polychromes, tour de la cathédrale de Vence.
[1] Luc 24, 13-33, NB: la traduction citée est celle de la Bible de Jérusalem et non celle préconisée par le lectionnaire romain.
[2] Luc 24, 22-24.
[3] Luc 24, 30-31.
[4] Luc 24, 15-16.
[5] Luc 24, 19-21.
[6] Actes 4, 13.
[7] Actes 1, 11.
[8] On peut également penser au désir frustré des disciples dans l'épisode de la Transfiguration.
[9] Missel Romain.
[10] Rm 6, 3-11 (Bible de Jérusalem, c'est moi qui souligne) : "Ignorez-vous que, baptisés dans le Christ Jésus, c'est dans sa mort que tous nous avons été baptisés? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême dans la mort, afin que, comme le Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, nous vivions nous aussi dans une vie nouvelle. Car si c'est un même être avec le Christ que nous sommes devenus par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable; comprenons-le, notre vieil homme a été crucifié avec lui, pour que fût réduit à l'impuissance ce corps de péché, afin que nous cessions d'être asservis au péché. Car celui qui est mort est affranchi du péché. Mais si nous sommes morts avec le Christ, nous croyons que nous vivons aussi avec lui, sachant que le Christ une fois ressuscité des morts ne meurt plus, que la mort n'exerce plus de pouvoir sur lui. Sa mort fut une mort au péché, une fois pour toutes; mais sa vie est une vie à Dieu. Et vous de même, considérez que vous êtes morts au péché et vivants à Dieu dans le Christ Jésus".
[11] Actes 3, 1-10.
[12] Au sens étymologique de Res: la chose!
[13] Préface de Pâques, Missel Romain.
Publié par Sémiramis à 18:01 8 commentaires
Libellés : Evangile, Théologie du corps
15 avril 2007
I'm back!
Me voila revenue de grand matin, avec le soleil et la douceur moite de ces jours d'avril exaltants! Voila que les colzas commencent à illuminer la plaine de leurs feux...
Bon, un bisou à mamie, je file à la messe et à tout à l'heure!
Publié par Sémiramis à 10:34 16 commentaires
01 avril 2007
Blog en goguette
Non, ce n'est pas un fantasme, ni un rêve...
La mer...
Le soleil...
La lumière...
Les couleurs éclatantes...
Le temps qui passe, doucement, et que l'on regarde passer, distraitement...
Ah la la, je vais lire lire lire, me promener sans but, boire des Picon bière et mettre mes robes préférées.
En attendant, l'HSQ sera en friche...
C'est promis mes petits chéris, je vous rapporte plein de photos, de réflexions, d'exaltations en tous genres. La rentrée sera DU FEU DE DIEU!
Par anticipation je souhaite donc à tous une excellente semaine sainte et surtout une fête de Pâques resplendissante et rayonnante de joie.
A très vite!
Publié par Sémiramis à 22:27 5 commentaires
Dimanche des Rameaux
Quand criera la chair qui naquit de toi, mère,
imprègne le monde du pouvoir de son Père.
Mère de Dieu, prie pour nous ton Fils en cette heure
Et quand il semblera à tous très saint,
fais lui savoir comment il fut conçu.
Mère de Dieu, prie pour nous ton Fils en cette heure
Et ce jour là, quand il sera en colère,
fais lui comprendre qu'il fut engendré en toi.
Mère de Dieu, prie pour nous ton Fils en cette heure
Quand tu verras des saints les âmes en peine terrifiées,
montre lui ta poitrine sainte qui l'allaita.
Mère de Dieu, prie pour nous ton Fils en cette heure
Alfonso X El Sabio, XIIème siècle
Publié par Sémiramis à 21:57 4 commentaires